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Alphonse78 Ven 31 Aoû - 22:13Bonjour je m'appelle Silvaine j'ai 15ans JE suis en 5éme oui j'ai beaucoup redoublée
Je joue a minecraft depuis la 1.1 j'adore miner et Greif (jee rigole
)
J'ai connu le serveur par Technosite qui me la deconseiller mais je suis curieux et le serveur a l'air plutot bien
Voila mon Rp:Mes années au Fortin Doré avait été magique. Ce village m'avait accueillit à bras ouvert, les habitants y étaient tous charmant. J'avais rapidement tissé des liens avec eux et je m'étais établi dans une petite maison que j'avais décorée à mon goût. Je m'y sentais bien et en sécurité dans cette communauté de brave gens. À plusieurs reprise il m'était arrivée de quitter mes amis pour aller rendre visite à mes parents qui habitaient toujours dans mon ancien village. Heureusement, j'avais réussi à m'acheter un cheval avec les quelques pièces d'argent que j'avais durement gagné en travaillant pour le tisserand du village. Je tondais ces moutons, ce qui lui permettait durant ce temps d'être dans son commerce pour vendre divers vêtements ou draperies en laine.
C'était la saison froide, plus le temps passait plus je vieillissais, malheureusement mes parents aussi. Ils ne se faisaient plus très jeune. J'avais reçu une lettre d'un villageois de mon village d'enfance qui disait que ma mère n'allait pas très bien. Je commençais gravement à m'en faire pour leur santé à tous les deux, alors j'avais décidé cette journée là de faire mes bagages et de partir chez mes parents pour aller les aider avec les tâches ménagères et les repas. Je serais au petit soin pour eux, le temps que ma mère récupère du moins. Je m'habilla chaudement en revêtant plusieurs gilets et je monta sur mon cheval pour arriver plus rapidement possible. Après une bonne journée de route, j'arriva au village. Liam, un de mes amis d'enfance courut vers moi avec un air grave, il m'attendait. Ça ne me disait rien de bon. Il m'arrêta mais ne me dit rien. Il commençait sérieusement à me faire paniquer. Liam m'annonça que mes parents étaient morts tous les deux, que ma mère avait eu une pneumonie et qu'elle avait contaminé mon père. Le docteur du village avait essayé de les sauver mais en vain. Je ne pouvais pas le croire. Je couru à leur maison en me disant que je les verrais tout les deux au salon devant un bon petit feu. Il n'y avait personne à l'intérieur. Liam m'avait suivi pour me résonner mais j'étais comme dans un état second, tout me paraissait irréel. J'allais me réveiller et ça allait être un mauvais rêve. Ça ne se pouvait pas. Comment j'avais pu arriver trop tard... Seulement une semaine à peine s'était écoulé entre l'écriture de cette lettre et mon arriver ici. Je n'arrivais pas à y croire. Je me rendis dans le cimetière du village pour apercevoir qu'aux côté de mes grands-parents décédé, il y avait des gens enterrés dans l'emplacement réservé pour mon père et ma mère. J'étais sur le point de creuser avec mes mains dans la terre encore fraîche quand mon ami me sortie de ma transe. Je repris alors conscience et les larmes se mit à couler sur mon visage comme si on m'avait versé un sceau d'eau sur la tête qui déversait de l'eau infiniment.
Ce pris des semaines, voir des mois avant que je m'en remettre passablement. J'avoue avoir perdue la notion du temps. J'étais passée de la peine à la colère et de la culpabilité à la honte. Si seulement j'étais venu les voir avant ou si je n'avais jamais quitter ce village après mon enlèvement, j'aurais peut-être réussit à les sauver. Comme plus rien de me retenait ici, je repartie pour aller m'installer ailleurs. Je ne pouvais pas retourner voir les gens que je connaissais ... Qu'allais-je leur dire ? Que j'avais échouée ??? Mentalement, c'était plus facile de recommencer ma vie à zéro. De rencontrer des gens qui ne me connaissaient pas, qui ne savait rien sur ma vie et à qui je ne devais rien.
J'allais de village en village cherchant ma place dans ce monde mais ça n'allait jamais. Je me sentais toujours de trop, j'avais perdu confiance en moi. Je voulais me trouver un homme avec qui je pourrais passer ma vie et ainsi être moins seule mais chaque fois, les hommes n'étaient que des idiots. De l'alcoolique au fainéant, du violent à l'arrogant. J'en avait marre ! J'étais décidé à baisser les bras à l'amour, elle qui ne voulait pas de moi décidément. Alors '' soit '', j'allais apprendre à vivre seule et j'allais être bien comme ça. Encore mon sac à dos sur les épaules, avec quelques provisions pour survivre trois ou quatre jours, je partis en direction de la forêt pour y habiter tel une ermite. Je n'étais pas complètement seule à vrai dire comme mon cheval m'accompagnait toujours depuis mon départ. Le seul compagnon qui n'allait jamais me décevoir et qui aurait pour moi un amour inconditionnel. L'amour de ma vie serait ce cheval qui m'est tant dévoué depuis toutes ces années. J'essayais tout de même d'être un peu froide et indifférente, car j'avais appris avec le temps qu'aimer fait mal tôt ou tard.
Nous avons dormi plusieurs nuits à la belle étoile avant de trouver un endroit ou nous installer. Les nuits n'avaient pas été trop difficile, les bêtes sauvages ne nous avait pas trop approché, ça commentait quand même à devenir urgent de se construire un abris. J'avais décidée que le lendemain matin j'allais mit mettre quand soudainement en marchant, je découvris une cabane dans un arbre. Elle avait l'air inhabitée vu l'était des lieux mais ce serait parfait. Je ne pris pas de chance, je cria plusieurs fois pour savoir s'il y avait quelqu'un mais personne ne sortie de la maison. Je décida donc de grimper à l'échelle qui était un peu amoché. L'endroit était désert. Mon cheval en profita pour manger un peu d'herbe au sol mais ne s'éloigna pas.
Le temps passe et personne ne vint réclamer la demeure. Je l'avais réparée et décorée à ma façon. Elle paraissait comme neuve maintenant à quelques détails près. C'était quand même grand malgré que c'était une maison dans un arbre. Elle était accroché à trois gros troncs et il y avait une galerie tout autour. J'avais construit une écurie pour que mon cheval soit, lui aussi en sécurité. Je chassais pour me nourrir et je pouvais faire ma toilette dans une rivière qu'il y avait tout près. J'étais loin de me douter que ce jour là allait briser ma routine, car il avait commencer comme tout les autres. Je me réveilla, manga un morceau de pain que j'avais ramener d'un village il y a quelques jours de cela et alla dehors pour faire sortir mon cheval quand dans mon écurie, je tomba face à face a un inconnu. Surprise, je poussa un crie et prit la pelle qui était accoté sur les planches de la grange. En position défensive, je lui demanda...
- Qui êtes-vous et que faites-vous chez moi ?
Il fut surpris lui aussi, car il recula et tribucha par terre dans un tas de foin. Il devait s'être réveilla il y a quelques minutes à peine, comme moi.
- Ne me frapper pas s'il vous plait, je ne vous veux aucun mal !
Il n'avait pas bien compris ma question ou quoi ... Il eut l'air de comprendre en voyant mon air contrarié et il continua ...
- Je suis un simple voyageur, je me suis abrité ici cette nuit, car j'ai été pris en chasse par des loups. Je suis désolé, je ne voulais pas vous importuner.
Je le regarda de la tête au pied, il paraissait sincère et pas très dangereux. Il faut dire que sa chute n'avait pas fait très viril.
- OK! C'est correcte pour cette fois, maintenant au revoir...
Je lui tourna le dos, siffla mon cheval qui courut me rejoindre. Nous étions allés nous promener dans une clairière pas très éloigné qui était entouré par la forêt. Pour ensuite finir à la rivière pour se rafraîchir un peu et pêcher pour le souper de ce soir. À mon retour, l'homme avait construit clôture autour de mon terrain... Non mais ! Il ne manquait pas de culot. En colère, je m'avanca vers lui.
- Qu'est-ce que vous avez fait ?
-Heuu.. une ,, clô...
- Rien ne vous donne le droit de construire sur mon territoire... Pour qui vous prenez vous?
-Je voulais seulement vous aider...
- Je ne vous ai rien demandée, je n'ai pas besoin de votre aide, je me débrouille très bien toute seule. Je n'ai pas besoin de personne. Compris ?!?!?
-Oui, je m'excuse. Vous avez raison je n'avais aucun droit de toucher a votre propriété. Je vais m'en aller, je ne voulais pas vous nuir. Pardonner moi!
Je monta à ma cabane et m'enferma à l'intérieur. La nuit était en train de tomber et je me sentis soudainement coupable de le laisser partir comme ça avec les loups qui rôdaient surtout qu'en plus il avait travaillé toute la journée pour rendre mon terrain plus sécuritaire. J'avais peut-être été un peu dur avec lui... Il était là, il s'éloignait de plus en plus de chez moi. Je pourrais peut-être le laisser dormir encore une nuit ... Je courru vers la porte et je sortie sur le balcon.
-ATTENDEZ !!!
Il se retourna, étonné.
- Je... Je ...m'excuse. Vous pouvez rester à dormir cette nuit, si vous voulez. L'écurie est assez grande pour vous deux...
Je me forca un sourire moqueur. Ça me parut un peu maladroit mais cela eu l'air de fonctionner, car il se mit à rire un peu et sourit à son tour.
- Merci beaucoup ! C'est très gentil de votre part.
- Ce n'est rien... J'ai du poisson pour le repas aussi, si vous voulez...
- J'accepte cette offre avec plaisir.
Il souria à nouveau, d'un grand sourire qui ne me laissa pas totalement indifférente. Ce soir là, nous avons passé la soirée au bord du feu à manger du poisson et à parler de tout et de rien. Ce fut très agréable, ça faisait un moment que je n'avais pas eu une longue conversation avec quelqu'un. Les jours passaient et petit à petit des liens se créait entre nous. Il était très charmant et attentionné finalement. La carapace que je m'étais mise pour rejeter l'Amour à tout prix commencait à disparaître. Après plusieurs semaines à nous draguer l'un et l'autre, nous nous sommes embrassé au bord de la rivière, ce fût le plus beau jour de ma vie. La scène était parfaite comme dans mes rêves les plus fous. Depuis ce temps, nous sommes ensemble et nous vivons dans notre maison dans la forêt, tranquille et amoureux plus que jamais. De plus, nous avons acheté un nouveau cheval pour faire de la compagnie au miens. Comme ça, plus personne ne serait triste et seul.
Je joue a minecraft depuis la 1.1 j'adore miner et Greif (jee rigole
)J'ai connu le serveur par Technosite qui me la deconseiller mais je suis curieux et le serveur a l'air plutot bien
Voila mon Rp:Mes années au Fortin Doré avait été magique. Ce village m'avait accueillit à bras ouvert, les habitants y étaient tous charmant. J'avais rapidement tissé des liens avec eux et je m'étais établi dans une petite maison que j'avais décorée à mon goût. Je m'y sentais bien et en sécurité dans cette communauté de brave gens. À plusieurs reprise il m'était arrivée de quitter mes amis pour aller rendre visite à mes parents qui habitaient toujours dans mon ancien village. Heureusement, j'avais réussi à m'acheter un cheval avec les quelques pièces d'argent que j'avais durement gagné en travaillant pour le tisserand du village. Je tondais ces moutons, ce qui lui permettait durant ce temps d'être dans son commerce pour vendre divers vêtements ou draperies en laine.
C'était la saison froide, plus le temps passait plus je vieillissais, malheureusement mes parents aussi. Ils ne se faisaient plus très jeune. J'avais reçu une lettre d'un villageois de mon village d'enfance qui disait que ma mère n'allait pas très bien. Je commençais gravement à m'en faire pour leur santé à tous les deux, alors j'avais décidé cette journée là de faire mes bagages et de partir chez mes parents pour aller les aider avec les tâches ménagères et les repas. Je serais au petit soin pour eux, le temps que ma mère récupère du moins. Je m'habilla chaudement en revêtant plusieurs gilets et je monta sur mon cheval pour arriver plus rapidement possible. Après une bonne journée de route, j'arriva au village. Liam, un de mes amis d'enfance courut vers moi avec un air grave, il m'attendait. Ça ne me disait rien de bon. Il m'arrêta mais ne me dit rien. Il commençait sérieusement à me faire paniquer. Liam m'annonça que mes parents étaient morts tous les deux, que ma mère avait eu une pneumonie et qu'elle avait contaminé mon père. Le docteur du village avait essayé de les sauver mais en vain. Je ne pouvais pas le croire. Je couru à leur maison en me disant que je les verrais tout les deux au salon devant un bon petit feu. Il n'y avait personne à l'intérieur. Liam m'avait suivi pour me résonner mais j'étais comme dans un état second, tout me paraissait irréel. J'allais me réveiller et ça allait être un mauvais rêve. Ça ne se pouvait pas. Comment j'avais pu arriver trop tard... Seulement une semaine à peine s'était écoulé entre l'écriture de cette lettre et mon arriver ici. Je n'arrivais pas à y croire. Je me rendis dans le cimetière du village pour apercevoir qu'aux côté de mes grands-parents décédé, il y avait des gens enterrés dans l'emplacement réservé pour mon père et ma mère. J'étais sur le point de creuser avec mes mains dans la terre encore fraîche quand mon ami me sortie de ma transe. Je repris alors conscience et les larmes se mit à couler sur mon visage comme si on m'avait versé un sceau d'eau sur la tête qui déversait de l'eau infiniment.
Ce pris des semaines, voir des mois avant que je m'en remettre passablement. J'avoue avoir perdue la notion du temps. J'étais passée de la peine à la colère et de la culpabilité à la honte. Si seulement j'étais venu les voir avant ou si je n'avais jamais quitter ce village après mon enlèvement, j'aurais peut-être réussit à les sauver. Comme plus rien de me retenait ici, je repartie pour aller m'installer ailleurs. Je ne pouvais pas retourner voir les gens que je connaissais ... Qu'allais-je leur dire ? Que j'avais échouée ??? Mentalement, c'était plus facile de recommencer ma vie à zéro. De rencontrer des gens qui ne me connaissaient pas, qui ne savait rien sur ma vie et à qui je ne devais rien.
J'allais de village en village cherchant ma place dans ce monde mais ça n'allait jamais. Je me sentais toujours de trop, j'avais perdu confiance en moi. Je voulais me trouver un homme avec qui je pourrais passer ma vie et ainsi être moins seule mais chaque fois, les hommes n'étaient que des idiots. De l'alcoolique au fainéant, du violent à l'arrogant. J'en avait marre ! J'étais décidé à baisser les bras à l'amour, elle qui ne voulait pas de moi décidément. Alors '' soit '', j'allais apprendre à vivre seule et j'allais être bien comme ça. Encore mon sac à dos sur les épaules, avec quelques provisions pour survivre trois ou quatre jours, je partis en direction de la forêt pour y habiter tel une ermite. Je n'étais pas complètement seule à vrai dire comme mon cheval m'accompagnait toujours depuis mon départ. Le seul compagnon qui n'allait jamais me décevoir et qui aurait pour moi un amour inconditionnel. L'amour de ma vie serait ce cheval qui m'est tant dévoué depuis toutes ces années. J'essayais tout de même d'être un peu froide et indifférente, car j'avais appris avec le temps qu'aimer fait mal tôt ou tard.
Nous avons dormi plusieurs nuits à la belle étoile avant de trouver un endroit ou nous installer. Les nuits n'avaient pas été trop difficile, les bêtes sauvages ne nous avait pas trop approché, ça commentait quand même à devenir urgent de se construire un abris. J'avais décidée que le lendemain matin j'allais mit mettre quand soudainement en marchant, je découvris une cabane dans un arbre. Elle avait l'air inhabitée vu l'était des lieux mais ce serait parfait. Je ne pris pas de chance, je cria plusieurs fois pour savoir s'il y avait quelqu'un mais personne ne sortie de la maison. Je décida donc de grimper à l'échelle qui était un peu amoché. L'endroit était désert. Mon cheval en profita pour manger un peu d'herbe au sol mais ne s'éloigna pas.
Le temps passe et personne ne vint réclamer la demeure. Je l'avais réparée et décorée à ma façon. Elle paraissait comme neuve maintenant à quelques détails près. C'était quand même grand malgré que c'était une maison dans un arbre. Elle était accroché à trois gros troncs et il y avait une galerie tout autour. J'avais construit une écurie pour que mon cheval soit, lui aussi en sécurité. Je chassais pour me nourrir et je pouvais faire ma toilette dans une rivière qu'il y avait tout près. J'étais loin de me douter que ce jour là allait briser ma routine, car il avait commencer comme tout les autres. Je me réveilla, manga un morceau de pain que j'avais ramener d'un village il y a quelques jours de cela et alla dehors pour faire sortir mon cheval quand dans mon écurie, je tomba face à face a un inconnu. Surprise, je poussa un crie et prit la pelle qui était accoté sur les planches de la grange. En position défensive, je lui demanda...
- Qui êtes-vous et que faites-vous chez moi ?
Il fut surpris lui aussi, car il recula et tribucha par terre dans un tas de foin. Il devait s'être réveilla il y a quelques minutes à peine, comme moi.
- Ne me frapper pas s'il vous plait, je ne vous veux aucun mal !
Il n'avait pas bien compris ma question ou quoi ... Il eut l'air de comprendre en voyant mon air contrarié et il continua ...
- Je suis un simple voyageur, je me suis abrité ici cette nuit, car j'ai été pris en chasse par des loups. Je suis désolé, je ne voulais pas vous importuner.
Je le regarda de la tête au pied, il paraissait sincère et pas très dangereux. Il faut dire que sa chute n'avait pas fait très viril.
- OK! C'est correcte pour cette fois, maintenant au revoir...
Je lui tourna le dos, siffla mon cheval qui courut me rejoindre. Nous étions allés nous promener dans une clairière pas très éloigné qui était entouré par la forêt. Pour ensuite finir à la rivière pour se rafraîchir un peu et pêcher pour le souper de ce soir. À mon retour, l'homme avait construit clôture autour de mon terrain... Non mais ! Il ne manquait pas de culot. En colère, je m'avanca vers lui.
- Qu'est-ce que vous avez fait ?
-Heuu.. une ,, clô...
- Rien ne vous donne le droit de construire sur mon territoire... Pour qui vous prenez vous?
-Je voulais seulement vous aider...
- Je ne vous ai rien demandée, je n'ai pas besoin de votre aide, je me débrouille très bien toute seule. Je n'ai pas besoin de personne. Compris ?!?!?
-Oui, je m'excuse. Vous avez raison je n'avais aucun droit de toucher a votre propriété. Je vais m'en aller, je ne voulais pas vous nuir. Pardonner moi!
Je monta à ma cabane et m'enferma à l'intérieur. La nuit était en train de tomber et je me sentis soudainement coupable de le laisser partir comme ça avec les loups qui rôdaient surtout qu'en plus il avait travaillé toute la journée pour rendre mon terrain plus sécuritaire. J'avais peut-être été un peu dur avec lui... Il était là, il s'éloignait de plus en plus de chez moi. Je pourrais peut-être le laisser dormir encore une nuit ... Je courru vers la porte et je sortie sur le balcon.
-ATTENDEZ !!!
Il se retourna, étonné.
- Je... Je ...m'excuse. Vous pouvez rester à dormir cette nuit, si vous voulez. L'écurie est assez grande pour vous deux...
Je me forca un sourire moqueur. Ça me parut un peu maladroit mais cela eu l'air de fonctionner, car il se mit à rire un peu et sourit à son tour.
- Merci beaucoup ! C'est très gentil de votre part.
- Ce n'est rien... J'ai du poisson pour le repas aussi, si vous voulez...
- J'accepte cette offre avec plaisir.
Il souria à nouveau, d'un grand sourire qui ne me laissa pas totalement indifférente. Ce soir là, nous avons passé la soirée au bord du feu à manger du poisson et à parler de tout et de rien. Ce fut très agréable, ça faisait un moment que je n'avais pas eu une longue conversation avec quelqu'un. Les jours passaient et petit à petit des liens se créait entre nous. Il était très charmant et attentionné finalement. La carapace que je m'étais mise pour rejeter l'Amour à tout prix commencait à disparaître. Après plusieurs semaines à nous draguer l'un et l'autre, nous nous sommes embrassé au bord de la rivière, ce fût le plus beau jour de ma vie. La scène était parfaite comme dans mes rêves les plus fous. Depuis ce temps, nous sommes ensemble et nous vivons dans notre maison dans la forêt, tranquille et amoureux plus que jamais. De plus, nous avons acheté un nouveau cheval pour faire de la compagnie au miens. Comme ça, plus personne ne serait triste et seul.
